La syllogomanie est un problème qui peut toucher n’importe qui, quel que soit son âge, son sexe ou sa culture. Ce n’est pas un problème qui peut être difficile à comprendre pour quiconque ne l’a pas vécu de première main. Par conséquent, aider quelqu’un à surmonter une thésaurisation peut sembler une tâche ardue et difficile. Cependant, vous pouvez faire beaucoup de choses pour les aider. Si vous pensez que quelqu’un que vous connaissez accumule et que cela peut affecter sa sécurité et son bien-être, il est important d’agir dès que possible. La thésaurisation est souvent associée à la dépression ou à l’anxiété, mais toutes les personnes qui souffrent de ces symptômes ne font pas de thésaurisation.

1 : Parlez à la personne.

Il peut être difficile de savoir comment démarrer une conversation, mais parler à une personne peut être un moyen très efficace de l’aider. Si possible, essayez de trouver un moment où la personne n’est pas submergée par la confusion et parlez-lui de ce que vous voyez. Commencez par leur demander s’ils vont bien et si vous pouvez faire quelque chose pour eux. Vous n’obtiendrez peut-être pas un « oui » immédiat, mais vous pouvez utiliser la conversation pour commencer à aider. Notez que si une personne a la thésaurisation comme symptôme d’un autre trouble mental, elle peut ne pas vous en parler pour le moment. Discuter de leur collection peut susciter de fortes émotions et être trop accablant en ce moment. Vous pouvez toujours leur dire ce que vous voyez, mais concentrez-vous sur ce que vous pouvez faire pour aider, et non sur la raison pour laquelle la personne le fait.

2 : Assurez-vous que leur maison est en sécurité.

Parce que les espaces domestiques peuvent devenir dangereusement désordonnés, il est très important de s’assurer que sa maison est sécuritaire. Vérifiez les dangers tels que les risques d’incendie, la poussière et la saleté excessives ou les routes bloquées menant à l’extérieur de la maison. Si vous ne savez pas par où commencer, vous pouvez toujours demander à la personne ce qu’elle aimerait que vous fassiez. Si vous ne le voyez pas souvent, il existe des organisations qui sont formées pour évaluer et nettoyer les maisons encombrées. Ne présumez pas que la personne sait que sa maison n’est pas sûre. Si vous voyez des dangers qui affectent la sécurité humaine, prenez-les au sérieux. Faites-leur savoir que vous vous souciez d’eux et craignez qu’ils ne se blessent à la maison.

3 : Offrez votre aide pour le nettoyage.

Lorsqu’une personne est ouverte à ce que vous l’aidiez à nettoyer sa maison, vous voulez être aussi respectueux et attentionné que possible. Bien que vous souhaitiez tout nettoyer en même temps, il est important de laisser la personne décider de la rapidité avec laquelle le nettoyage se fera. Demandez à la personne en quoi elle veut que vous l’aidiez. Certaines zones de leur maison sont-elles plus problématiques que d’autres ? Certains domaines sont-ils plus importants que d’autres ? Quel est leur plan pour faire face au reste du gâchis? Si vous ne savez pas comment nettoyer un appartement, vous pouvez toujours contacter une entreprise spécialisée dans le nettoyage des espaces de vie en désordre.

4 : Empêchez-les de collecter plus d’objets.

Demandez à la personne ce qu’elle veut garder et ce qu’elle veut abandonner. En vous promenant dans la maison, créez des piles d’objets parmi lesquels la personne pourra choisir. Respectez leurs décisions, mais soyez également ferme dans votre proposition. Vous pouvez proposer de stocker vous-même les objets ou de les apporter à un centre de don. Vous pouvez également demander à la personne ce qu’elle aimerait que vous fassiez avec les objets dont elle ne veut pas. Ne forcez pas la personne à prendre des décisions difficiles. Faites-leur savoir que vous êtes heureux de faire partie du gâchis s’ils le veulent.

5 : Faites un suivi et offrez votre aide.

Après avoir aidé une personne à nettoyer sa maison, assurez-vous de revenir dans quelques semaines ou mois pour vous assurer qu’elle va toujours bien, qu’elle ne régresse pas et qu’elle s’améliore. Il a tout le soutien dont il a besoin. Assurez-vous de leur faire savoir qu’ils peuvent vous contacter ou contacter quelqu’un d’autre s’ils en ont besoin. Si possible, proposez d’aider la personne à construire un réseau de soutien composé de membres de sa famille, d’amis et de professionnels de la santé mentale. La ramification peut être une condition très isolante, surtout si la personne ne veut pas demander de l’aide. Leur donner des ressources peut être un moyen très utile de montrer que vous vous souciez d’eux et que vous voulez les aider à se sentir moins seuls.

6 : Conclusion

Le bifurcation est une condition spéciale qui peut être difficile à comprendre et à aider. Si vous vous inquiétez pour quelqu’un que vous connaissez, vous pouvez faire beaucoup de choses pour l’aider. Parlez à la personne de ses sentiments, assurez-vous que sa maison est sécuritaire et proposez-lui de vous aider à nettoyer. Si la personne y est ouverte, profitez-en pour collecter plus d’objets et revenez la soutenir. Quoi qu’il en soit, assurez-vous de faire savoir à la personne que vous vous souciez d’elle et que vous voulez l’aider.

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